Les ordinateurs ont besoin d'une interface pour communiquer avec l'opérateur. Pendant longtemps l'électro-mécanique a joué un grand role. On est parti des objets connus : machines à écrire, téléimprimeurs (télégraphie), téléviseurs… pour arriver fianlement à des objets qui utilisent un mi !nimum de mécanique et un maximum d'écrans.
George R. Stibitz (1904–1995) américain, était chercheur aux Laboratoires Bell. Dans les années 1930 et 1940, il a contribué à la conception des circuits logiques booléens utilisant des relais électromécaniques comme éléments de commutation.
3 étapes marquantes : une machine à acrire IBM électrifiée (ordinateur Siemens TR4), un Teletype ASR 33 terminal habituel des mini-ordinateurs et l'ADM3 premier terminal à écran largement répandu.
L'écriture ne suffit pas, il faut les dessins. Les écrans graphiques ont longtemps été complexes et couteux, mais les tables traçantes se sont développées très vites pour les tracés de plans, de schémas, etc.
Les imprimantes sont la deuxième famille de terminaux. Ils sont présents dans la collection, dans toutes leurs technologies, même si délaissés ici !
Plus récents, apparus avec l'essor des mémoires à circuit intégrés, on touve les écrans, d'abord à tube cathodique, puis à cristaux liquide, plasma, LED…