Le laboratoire GIPSA-lab, Grenoble Images Parole Signal Automatique, est une unité mixte du CNRS et de l'université de Grenoble. Il mène des recherches théoriques et appliquées sur les signaux et les systèmes. Au sein du laboratoire, le Département Parole et Cognition s’intéresse aux signaux de la parole et aux systèmes linguistiques.
Principaux organismes de tutelle : CNRS, UJF, Grenoble INP, Université Stendhal
Site officiel
Théodore Rosset (1877-1961) Linguiste et phonéticien de la région (né à Montréal-la-Cluse, dans l’Ain), il se distingue par un parcours brillant et une vision avant-gardiste de l'apprentissage. Il publie de nombreux ouvrages relatifs à l'apprentissage de la langue française. Il fonde en 1904 l’Institut de Phonétique de Grenoble.
Les diapasons sont utilisés dans le domaine du son pour :
- accorder les instruments (diapasons classiques, où la note dure quelques secondes)
- servir de base de temps dans les premiers systèmes d’inscription de signaux sonores (diapasons dont les vibrations sont entretenues électriquement).
Le son est avant tout composé d'ondes ; dans cette vitrine, on découvre que cette propriété ondulatoire du son est considérée de différentes manières : pour créer des sons particuliers via des formes métalliques ou pour rendre les ondes visibles grâce à l'utilisation du gaz.
Les premiers enregistrements sonores avaient pour support des rouleaux de cire ou encore une feuille de papier baignée dans un vernis à fusain pour fixer du noir de fumée. Ces enregistrements étaient générés et étaient lus grâce aux phonographes.
Le gramophone représente une évolution majeure si l'on considère son support d'enregistrement ; en effet, avec ce type de matériel, l'enregistrement se fait désormais sur des disques à gravure latérale.
Pièces maîtresses des gramophones, les têtes de lecture permettent la lecture des sons d'un sillon par l'intermédiaire d'une aiguille, et leur reproduction via le cornet acoustique.